FTF : les dessous de la victoire de Gabriel Ameyi

Achat massif de consciences, rencontres cabalistiques, rites diaboliques, électeurs sans scrupule et corrompus, projet douteux pour anéantir le football, voila en bref les ingrédients qui ont servi à porter le « déshonorable pédophile » député RPT au trône de la fédération togolaise de football (FTF), le 05 novembre dernier.
Usant des procédés mesquins et primitifs pour arriver au perchoir de la fédération togolaise de football, Gabriel Ameyi s’est mis à dos un impressionnant nombre d’acteurs du football togolais. La presse togolaise cite le montage grotesque et vil échafaudé par celui-ci et ses sbires pour évincer tour à tour Tata Avlessi et Rock Gnassingbe. D’autres faits pas moins graves et relatifs aux pratiques occultes et à la légèreté de mœurs de l’actuel patron du football au Togo font leur chemin dans l’opinion.
Bref, le parcours d’Ameyi pour réaliser son rêve est emmaillé de coups bas, de tricheries et du fétichisme maquillé d’une chrétienté clownesque.

Autant les potentiels adversaires du député subit des préjudices autant l’Enfant Jésus a été grossièrement mis au devant des pratiques indou-cabalistiques du député.
Comme il fallait s’y attendre, le nouveau patron de la fédération, à peine élu, remet en surface ses « habitudes diablotins ».
Les amoureux du football, sport roi au Togo, ont ouvertement exprimer leur mécontentement à la suite de l’élection sur fond de corruption du président de Maranatha FC de Fiokpo. Les avis ont été, de façon général, défavorables à Gabriel Ameyi. Chacun a son opinion sur le très controversé passionné du football. Diable, mesquins, corrupteur, hautin et enfin adepte de conflits desquels il tirerait des avantages sataniques, sont entre autres attributs de Gabriel Ameyi que, les malheureux miserieux électeurs et l’irresponsable Général cupide Mèmène ont placé à la présidence de la FTF.
On se demande pourquoi les électeurs, ces présidents de clubs et de ligues ont préféré un belliqueux, un homme toujours à l’origine de tous les conflits. Comment comprendre ces togolais qui recherchent le développement du football, mais qui s’allient au corrupteur. N’est-ce pas donner l’envie aux revanchards ? Quand on se remémore les accusations contre Tata Avlessi, les complots contre Rock Gnassingbe, il est difficile d’envisager un lendemain meilleur pour le football togolais avec celui qui gifle souvent les joueurs de Maranatha FC de Fiokpo, quand l’envie lui prend.